Pourquoi avons-nous refusé et méprisé, en les jugeant exotiques voire arriérés, les modes de vie et les cultures riches d’enseignements des indiens, aborigènes, inuits, mongols, massaïs, ou papous ? Parce que même en dehors de toute pensée dogmatique ou religieuse, notre confort matériel et scientifique, notre soif de richesses, notre équilibre dominant/dominé, et surtout notre peur du danger nous ont empêchés d’y voir et d’y retrouver l’essentiel de la vie : l’harmonie du vivant,

Le réveil a sonné. Il est temps. Ça urge.

La spiritualité est personnelle, et chacun la vit comme il la sent, à sa façon et à son rythme.
Elle n’obéit à aucun dogme, aucune religion et à aucun code si ce n’est celui de l’Amour universel.
Vivre sa spiritualité c’est savoir au fond de soi qu’on est autre chose qu’un assemblage d’atomes et de cellules que le hasard a fait évoluer pour devenir un être humain. C’est sentir que l’on a d’autres perceptions que les 5 sens, que notre cœur a d’autres fonctions que celle d’une pompe sanguine, ou que notre cerveau n’est pas seulement le siège de notre mémoire et de notre centre de commandes. L’être humain est né pour aimer et être libre. Il est bien plus grand et puissant qu’il ne le croit.
On le lui a juste fait oublier au cours des siècles, pour qu’aujourd’hui, il soit ou devienne uniquement matérialiste, dénué de tout sens profond, et coupé de sa véritable spiritualité.

Les religions n’ont rien à voir avec la spiritualité et le véritable Amour.

Elles ont insufflé la peur dans le cœur des hommes et au nom de Dieu, elles ont été sources de mensonges, de corruptions, de crimes et de guerres entre les peuples. Les livres se ressemblent tous et sont truffés d’incitations au crime, à la perversion et au mensonge. Au nom du salut, de la paix et de l’amour tous trois dévoyés, les meneurs de dogmes ont rendu les hommes et les femmes craintifs et malheureux. La plupart d’entre eux vivent encore sous le joug mental qu’un Dieu bon peut être également méchant au nom de la justice divine. Et s’ils ne croient plus en Dieu, ce sont les célébrités qu’ils idolâtrent (dirigeants, sportifs, chanteurs, youtubeurs…) qui leur disent quoi penser ou faire de leur vie, au nom de la réussite.

L’humanité moderne vit dans ces croyances depuis toujours, complètement conditionnée par un discours alarmiste de réussir sa vie pour mieux vivre plus tard ou dans l’au-delà.

Pourquoi le terme « réussir » sa vie puisqu’on l’est déjà : vivant ?

L’humanité est terrorisée et vit dans la peur, de tout : autrefois du ciel qui allait lui tomber sur la tête, comme celui plus moderne de manquer ou de perdre tous ses biens accumulés. Et pire que tout de celle de tomber malade et de mourir en laissant les siens dans le dénuement.
Pourtant, des peuples anciens très rares aujourd’hui, que nos prêtres et politiques qualifient encore de primitifs, sont restés en reliance avec la nature. Ils respectent le vivant et sont en relation spirituelle avec les pierres, les rivières, les montagnes, le vent, ou les étoiles. Ils vivent en harmonie et n’ont pas peur de la mort qui, pour eux, fait partie de la vie. Les ancêtres continuent de vivre dans le cœur des vivants et c’est l’ordre naturel de la vie. Et au sein de leurs tribus encore préservées, il n’y a pas de miséreux, de malheureux, de voleurs ou de violeurs. Ils ont conservé au fil des siècles leur souveraineté individuelle et au sein de la communauté, chacun est responsable de ses actes.

Pourquoi avons-nous refusé et méprisé, en les jugeant exotiques voire arriérés, les modes de vie et les cultures riches d’enseignements des indiens, aborigènes, inuits, mongols, massaïs, ou papous ? Parce que même en dehors de toute pensée dogmatique ou religieuse, notre confort matériel et scientifique, notre soif de richesses, notre équilibre dominant/dominé, et surtout notre peur du danger nous ont empêchés d’y voir et d’y retrouver l’essentiel de la vie : l’harmonie du vivant, l’équilibre de la nature régie par des lois universelles que la physique quantique explique aujourd’hui par les mathématiques universelles et la géométrie sacrée en créant même des ponts avec les civilisations anciennes de notre grande Histoire.

Car les religions et les sciences qui en ont découlé nous ont aussi menti sur l’histoire de l’humanité.

On nous a dit à l’école qu’il y a 12 000 ans, l’homme vivait de la cueillette et de la chasse, et que la femme restait au village pour cultiver, tisser et cuisiner… La fameuse période néolithique… après l’âge de pierre…
Or l’histoire de l’humanité est bien plus ancienne.
Il s’est passé quelque chose d’énorme il y a 12 000 ans pendant le grand déluge pour que l’humanité efface tout son passé, devienne servile et croyante, et perde sa souveraineté d’être humain vivant en harmonie sur la Terre. Toutes les mythologies parlent de cataclysmes à la même période, la géologie trouve des traces d’inondations, d’éruptions et de mouvements tectoniques puissants. On a désormais des preuves que l’Antarctique n’a pas toujours été gelé, que le Sahara était verdoyant et que certains continents étaient bien plus étendus car le niveau des mers était plus bas de 100m.
Que s’est-il passé ? Basculement de l’axe de rotation de la Terre ? Inversion des pôles magnétiques ? Météorite géante ? Disparition de l’Atlantide ? Intervention extra-terrestre ? Création artificielle de la Lune ? On n’en sait pas grand-chose, mais toutes les théories même loufoques à priori convergent vers la réalité d’un cataclysme planétaire.

Toujours est-il que de plus en plus d’historiens cherchent et trouvent aujourd’hui des preuves de civilisations antédiluviennes, cachées et interdites par la science officielle. Le débat sur les pyramides est toujours aussi controversé, mais les découvertes sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus cohérentes. La véritable histoire de notre planète va bientôt émerger et bouleversera beaucoup de nos croyances.

Mais le cataclysme d’il y a 12 000 ans n’a pas été que géologique. Il l’a été aussi sur le plan spirituel.

L’histoire officielle est celle racontée par les vainqueurs et par ceux qui nous dirigent. Celle qui était enseignée il y a 70 ans, n’est plus la même histoire aujourd’hui. Nous vivons dans un mensonge permanent depuis des siècles.
Les dogmes religieux ont raconté l’histoire du monde et de sa création. Ils ont forgé nos sociétés, nos fonctionnements et nos pensées selon un but précis : dominer et contrôler l’humanité. Les sciences modernes issues du siècle des lumières sont les nouvelles religions. Elles cachent des inventions, détruisent des découvertes, réduisent au silence des scientifiques dont les théories remettent en cause le discours officiel. On voit bien aujourd’hui le marasme dans lequel la médecine est plongée lorsqu’une publication à controverse est retirée parce que falsifiée et révèle des croyances soigneusement établies pour des intérêts privés en dehors de toute éthique médicale. Les prêcheurs de la médecine industrielle et rentable jouent leur rôle à fond à la télé pour entretenir les mêmes croyances autrefois religieuses : peur de la mort, peur du jugement, peur de l’exclusion sociétale, peur de la répression… Rien à voir avec le vivant et la spiritualité. Nous en sommes encore plus éloignés aujourd’hui que ne l’étaient nos parents après la deuxième guerre mondiale qui croyaient à fond à la chimie et à la publicité. Avec l’électronique et le numérique, nous sommes rentrés dans l’ère du matérialisme déconnecté du vivant qui évolue vers le transhumanisme où l’être humain deviendrait une machine interchangeable et corvéable à merci.

Pourtant, nous sommes toujours aujourd’hui comme les indiens et les papous, nous sommes toujours des êtres vivants, issus naturellement et animés par l’Amour, même si nos peurs ont pris le dessus ces derniers mois et que nous sommes obligés de puiser profondément en nous pour trouver des forces de continuer à vivre.

Ces forces intérieures viennent de notre âme, elles ne sont ni physiques ni psychiques. Elles viennent de notre cœur et non pas de notre raison. Lorsqu’on est confronté à l’idée de sa propre mort, on ne raisonne plus, on agit par instinct, on va à l’essentiel, on retrouve en soi cette petite flamme intérieure qui a toujours été là depuis le premier jour.
Cette flamme est alimentée par l’amour de la Vie, et n’a rien de physique ou de mental. Elle existe pourtant. Elle est, tout simplement. On peut l’appeler âme ou par plein d’autres mots… Par ressenti, on la place dans le cœur et pas dans le cerveau. Elle est essentielle pour aimer. C’est un merveilleux cadeau de la vie que la science n’explique pas. Et en plus, elle parle !!!
C’est cette petite voix intérieure qui nous guide vers le bien et le meilleur pour chacun et qui nous remplit de joie. Dans le monde matérialiste dans lequel nous nous sommes enfermés, nous avons du mal à l’écouter, d’autant qu’elle est sans cesse contredite par notre mental qui entretient nos peurs.

Nous avons comme deux voix en nous : celle qui parle d’amour, et celle qui parle de peur.

Et elles s’affrontent très souvent. Nos pensées sont issues de ces contradictions et bien souvent, plus le paroxysme est poussé, nous entrons dans un malaise qui peut virer au surmenage, à la dépression ou au burn-out. Notre cœur ne supporte plus que nos peurs nous gouvernent.
Nous sommes en plein paroxysme avec ce qui se passe dans le monde aujourd’hui. Les discours sont tellement contradictoires avec le bons sens commun que toute l’humanité en est bouleversée. Certains vont soit se suicider soit prendre conscience qu’ils sont autre chose que des êtres biologiques voués à l’obéissance.

La recherche de la vérité est le moteur de cet éveil.

Ceux qui continuent de croire les discours officiels ne peuvent que se soumettre ou se rebeller. Quand on prend du recul et qu’on refuse de croire, on se met en introspection et on fait le tri entre toutes les croyances accumulées depuis l’enfance et qui viennent encombrer nos ressentis. Nous mettons de côté notre mental et faisons appel à notre cœur pour savoir ce qui est vrai ou pas car le cœur dit toujours la vérité. Les peurs viennent de notre mental et ce sont elles qui nous trompent bien souvent. Nous pouvons pratiquer la méditation pour nous isoler de notre mental qui nous parasite, mais nous pouvons tout simplement arrêter de réfléchir et laisser ouvert notre cœur. Les bonnes réponses à nos questionnements arrivent généralement facilement. Les décisions que nous prenons parfois « au pif » sont souvent de bonnes décisions quand notre cœur est ouvert au bien et à l’amour. Ce « pif » est l’intuition, ce guide en lien direct avec notre âme. Nous ne lui prêtons souvent pas assez attention, puisque notre société veut que tout soit réfléchi, clarifié, expliqué, prouvé, et politiquement correct. Mais l’humanité est entrain de changer.

Depuis une trentaine d’années et peut-être plus, les enfants qui viennent au monde sont plus sensibles à ces perceptions venues du cœur.

Ils souffrent en silence du monde dans lequel ils sont plongés et obligés de s’épanouir. Enfants indigo, starseed, arc-en-ciel, cristal, ils se retrouvent parmi les hypersensibles et les empathes et bien souvent la psychiatrie les a diagnostiqués hyperactifs ou bipolaires voire schizophrènes et les a drogués en les coupant de leur sensibilité.
Aujourd’hui, ils sont si nombreux qu’échanger sur ses perceptions extrasensorielles n’est plus un acte de folie. Sortir de son corps, entendre des voix, sentir des présences, lire dans les pensées, capter les énergies du sol, de l’air et du vivant, ressentir les émotions des autres, sont autant de capacités humaines qui se révèlent à eux. Or les peuples anciens ont toujours eu ces capacités, les chamanes, les sorcières et les hommes médecine utilisent ces mêmes perceptions extrasensorielles pour soigner et informer leurs peuples. C’est naturel pour eux.

Chaque être humain est capable de ressentir cela du moment qu’il ouvre son cœur et lâche-prise de son mental.

Nous ne sommes pas que des corps biochimiques faits de cellules qui se nourrissent et se reproduisent. Nous sommes aussi des corps énergétiques faits de molécules et d’atomes qui s’équilibrent grâce à des champs énergétiques. Nous avons la possibilité de nous connecter à des sources d’énergie qu’elles soient humaines, minérales, végétales ou animales, ou qu’elles soient telluriques, célestes ou cosmiques. Depuis longtemps, les astrologues nous parlent des influences des étoiles et des planètes, les géobiologues nous parlent des lignes de force magnétique enfouies dans le sol, les acupuncteurs nous soignent en suivant les circuits énergétiques du corps, les énergéticiens rééquilibrent nos chakras pour que notre énergie interne et externe circule librement. Ils sont décriés par les sacro-saintes sciences officielles adeptes de Big Pharma et de Big Data. Pourtant, les neuroscientifiques ont fait de multiples découvertes sur les neurotransmetteurs et les interactions organiques. Ils ont découvert un deuxième cerveau dans le système digestif siège de nos émotions et des neurones identiques au cerveau sur le cœur qui n’est donc plus seulement un muscle. La science moderne commence à reconnaître que l’énergie est partout et en nous, et que nous sommes capables de la capter pour nous en servir et nous soigner.

L’être humain est bien plus capable de cela : il est capable de capter l’énergie sur différents plans.

Il est comme une antenne entre le ciel et la terre, un poste de radio avec son cerveau en guise de récepteur et son cœur en guise de tuner (variateur de fréquences). Plus son cœur est ouvert au monde, rempli d’amour pour toute chose, plus il va se connecter à des plans subtils dont les champs énergétiques vibrent plus haut que lui-même en temps normal. Plus l’être humain monte en fréquence vibratoire, plus il se relie à des mondes invisibles, champs d’informations quantiques où d’autres plans de matière se sont installés. Un peu comme un électron qui, à force de s’agiter autour du noyau de l’atome, va changer d’orbite et passer sur une autre dimension.

On parle de saut quantique.

L’âme est capable de voyager entre ces dimensions. Et notre cerveau peut se relier à ces dimensions si notre cœur reste ouvert et que notre mental ne vient pas tout perturber avec des peurs et des croyances.
Lorsque notre cœur et notre esprit sont alignés avec notre âme, nous retrouvons notre souveraineté d’être humain, nos peurs ont disparu, nos émotions sont en harmonie et le monde est bien plus beau. Les événements nous sont favorables, notre réalité change et nos actions sont constructives. Nous sommes alors sujets à des synchronicités, du genre « Je pense à un truc et le truc se produit l’instant suivant ». Nos proches nous trouvent rayonnants (tu m’étonnes!) et nous nous sentons reliés à la nature, aux plantes et aux animaux. Nous débordons d’amour, et n’avons plus peur de rien. Nous nous sentons vivants !

Lorsque nous croisons ce genre de personnes rayonnantes, nous sommes attirés par leur bienveillance et leur dynamisme. Elles nous donnent envie de leur ressembler. C’est tout à fait possible. Chacun a cette capacité intérieure.

L’énergie puissante que rayonnent ces personnes atteint l’entourage.

On dit qu’une personne qui vibre haut peut aider 10 personnes autour d’elles à monter en vibration. Certaines personnes qui maîtrisent bien leur taux vibratoire et le maintiennent très élevé peuvent atteindre 100 personnes, voire une salle de conférence entièrement remplie.
Le ciel est la terre nous aident à élever notre vibration. Lorsque nous sommes en pleine nature, nous avons plus de facilité à nous harmoniser car nous bénéficions de l’énergie de la Terre elle-même et de celle du cosmos qui se mettent à circuler en nous. Et quand on respire bien, profondément, les connexions sont plus faciles.

L’éveil spirituel, c’est vivre cette expérience énergétique qui est ultra-personnelle.

Vivre sa spiritualité, c’est entretenir cette ouverture du cœur et apprendre à gérer ses émotions, à évacuer ses peurs et ses croyances, à se libérer l’esprit pour accueillir de nouvelles pensées, et à s’ouvrir à de nouvelles connaissances, perspectives et réalités.

Ce qu’il s’est passé dans le monde depuis des siècles, c’est ce vol, cet oubli de notre spiritualité. Les religions et les sciences dogmatiques nous ont empêché de vivre pleinement en tant qu’être humain spirituel. Seuls les peuples anciens ont su garder cette spiritualité du vivant et ils sont vivement attaqués ces dernières années. Il est temps que l’être humain retrouve sa souveraineté.

Le réveil a sonné. Il est temps. Ça urge.
Nous sommes des milliards, ils ne sont que quelques milliers à vouloir nous en empêcher.

Il est temps

Hélène Bazin

le 27 Novembre 2020

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